Le mouvement palestinien et l’État hébreu se sont mis d’accord jeudi 9 octobre sur la première phase d’un accord. Il devrait permettre un cessez-le-feu à Gaza, la libération de tous les otages israéliens et de prisonniers palestiniens. La fin de la guerre, elle, est encore floue.
En pleine crise, Sébastien Lecornu présente le dossier calédonien comme une des « deux urgences » à régler, avec le budget. Une « instrumentalisation » qui inquiète les indépendantistes, déjà échaudés par les méthodes de l’ex-ministre des outre-mer.
L’avocate médiatique, connue pour sa défense de personnalités accusées de violences sexistes et sexuelles et pour ses critiques du mouvement #MeToo, est notamment soupçonnée d’avoir aidé le comédien Philippe Caubère à faire disparaître des preuves alors qu’il était accusé de viol, en 2018.
Quelques heures après la démission du gouvernement, le président de la République a accordé à Sébastien Lecornu deux jours supplémentaires pour mener d’« ultimes négociations » avec la droite et offrir un nouveau sursis à l’exécutif. Déjà, la dissolution de l’Assemblée nationale est dans tous les esprits.
Jugée pour « favoritisme », au sujet de l’attribution d’un marché en Libye en 2008 pour remercier Kadhafi de la libération des infirmières bulgares, l’Agence française de développement a bénéficié jeudi d’une relaxe pour cause de prescription des faits.
Le renouvellement du bureau de l’Assemblée nationale a permis à l’extrême droite de retrouver deux postes de vice-président, grâce aux voix des macronistes et de la droite. Une nouvelle illustration de la déliquescence du front républicain de l’été 2024.
En clôture du procès du chantage à la sextape, les avocats de Gaël Perdriau ont plaidé la relaxe de leur client. D’après eux, le bras droit du maire aurait tout « commandité » dans son dos. Le jugement sera rendu le 1er décembre.
Avant d’accepter la démission de son vicaire général Hubert Schmitt, le 10 septembre, le diocèse alsacien a tout fait pour le sauver, jusqu’à déclarer que l’enquête canonique qui le visait était close. D’après nos informations, c’est parfaitement faux. La procédure vient même de rebondir.
Depuis nos révélations sur les notes de frais de la maire de Paris, la droite et l’extrême droite attaquent violemment Anne Hidalgo, oubliant les élus de leurs camps qui refusent de dévoiler leurs propres dépenses. La maire de Paris, elle, refuse toujours de dévoiler l’intégralité de ces documents.
À l’Assemblée générale, l’ex-djihadiste devenu chef d’État a demandé la levée complète des sanctions qui pèsent encore sur la Syrie et s’est présenté comme le garant d’une politique étrangère d’apaisement, à l’opposé de celle des Assad.