L’audition s’avère l’un des domaines où l’électronique a progressé de manière fulgurante. Et ce, en ce qui concerne le champ des loisirs comme le domaine de la santé : les dispositifs de restauration de l’audition laissent place aux implants cochléaires.
Dans chacune de nos cellules se logent deux mètres d’ADN enroulés en pelotes. Mais seule une infime portion sert à fabriquer les protéines qui nous permettent de vivre. Le reste, souvent qualifié d’ADN poubelle, ne cesse d’intriguer les scientifiques.
Beaucoup d’animaux, notamment sociaux, possèdent des langages complexes. Pour les déchiffrer, les chercheurs combinent observation, intelligence artificielle et expériences de playback.
Civettes et chiens viverrins pourraient avoir joué un rôle crucial dans l’émergence du Sars-CoV-2. Une étude coordonnée par le CNRS, publiée jeudi 19 septembre, apporte de nouveaux éléments sur les origines de la pandémie. Entretien avec la chercheuse et coautrice Florence Débarre.
Alors que l’humanité connaît une véritable épidémie de manque de sommeil, des scientifiques s’intéressent à cet état de conscience modifié. Si nous dormons, c’est que nous en avons besoin pour vivre. Mais les raisons de ses avantages évolutifs restent à percer.
Après plus d’une trentaine d’années de prohibition, la recherche sur les potentialités thérapeutiques des psychédéliques repart. Avec des résultats prometteurs, en particulier dans trois domaines : la dépression, les addictions et l’anxiété liée à la fin de vie.
Proche de la galaxie communiste, Irène Joliot-Curie, prix Nobel de chimie en 1935, apparaît comme la nomination la plus audacieuse de Léon Blum. Elle ne fera que passer. Non sans marquer de son empreinte le sous-secrétariat d’État à la recherche scientifique.
Les primates montrent des capacités d’adaptation de leurs comportements surprenantes en réponse à des bouleversements majeurs de leur environnement. Ces résultats nous rappellent l’existence d’un « capital culturel » chez les animaux, transmis de génération en génération, mais menacé par les effets des activités humaines.
Les larmes suscitées par une émotion apparaissent comme une caractéristique de l’espèce humaine. Selon plusieurs études, ces pleurs représenteraient un signal visuel et olfactif d’apaisement. Une forme de communication non verbale qui aurait pu jouer un rôle dans notre évolution.
Tous les 11 ans, le Soleil nous offre le meilleur – les aurores boréales – et le pire – les tempêtes solaires à l’origine de gros dégâts. Son champ magnétique, encore largement méconnu, est la cause de ces phénomènes. Et si tout prenait place à la surface du Soleil ?
Les scientifiques tentent de décrypter les mécanismes de régénération dont sont dotées de nombreuses espèces, certaines parvenant à faire repousser des parties entières de leur corps après une amputation. Des connaissances qui pourraient à terme servir en médecine régénérative.
Alors qu’elle s’exprimait collectivement contre l’extrême droite lors des précédentes élections présidentielles, la communauté des scientifiques cherche aujourd’hui sa voie.
Le sociologue Arnaud Saint-Martin et l’astrophysicien Marc Lachièze-Rey débattent de l’utilité des voyages dans l’espace, et de l’appropriation de ce dernier par des intérêts privés.
Des chercheurs viennent de montrer que notre cerveau est capable de décoder les symboles que nous utilisons pour afficher notre identité et notre statut social. Une faculté qui a pu donner un avantage évolutif à l’être humain.