Journaliste avec un fort accent du sud. J'ai été diplômée de l'IUT de Lannion et de l'ESJ Lille.
J'ai rejoint Mediapart en septembre 2019 en tant qu'alternante et j'y suis restée depuis, pour couvrir le monde du travail et les questions relatives à ce groupe hétérogène que l'on appelle "les jeunes".
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
À partir de ce lundi 30 mars, La Poste ne livre plus que trois jours par semaine, mercredi, jeudi et vendredi. Aussi, de nombreux bureaux de poste ont été fermés. Une décision prise en réponse aux alertes lancées par les postiers sur leurs conditions de travail.
En couple, tristement seul, amoureux séparés ou se marchant sur les pieds… Le temps que durera l’épidémie du Covid-19, nous suivrons les fluctuations des sentiments amoureux en France. Premier volet de notre documentaire sonore sur l’amour, le couple et le sexe en mode confiné.
Ajaccio, l’une des premières villes classées « cluster », vit confinée depuis début mars. Son hôpital vétuste enregistre 21 décès à ce jour. Tout manque : l’espace, les lits, les masques… L’insularité amplifie la crise. « C’est catastrophique, les gens n’en peuvent plus », alerte le président de l’exécutif corse.
De nombreux étudiants ont choisi de rentrer chez leurs parents, d’autres n’en ont pas eu la possibilité ou ont choisi de ne pas le faire. Dans les résidences universitaires, seuls 25 à 40 % des étudiants sont restés. Et pour ceux-là, le confinement est difficile dans quelques mètres carrés exigus et oppressants.
Manque de protection, droit de retrait refusé, menaces et pressions, les facteurs peinent à se faire entendre par leur direction. Ils estiment que La Poste les met en danger pour livrer « des paires de baskets ou des collections de DVD ».
Prises entre l’énorme afflux de clients et l’inquiétude pour leur propre santé, les caissières ont bien souvent dû se battre pour imposer des mesures de protection dans leur magasin. Elles restent fragiles face à l’épidémie et à ses conséquences.
Sur la place d’Aligre, une petite mairie trône et autour d’elle se déploie chaque jour un marché. « C’est un village ici, c’est resté populaire », répètent à l’envi les «gentrifieurs». Dernier volet de notre série.
Pour ce deuxième volet sur le quartier d’Aligre avant les municipales, rendez-vous sur le marché qui rythme la vie de ce lieu parisien depuis plus de deux cents ans. Alentour, les petites boutiques pâtissent de l’installation de grandes enseignes.
Une série en trois volets sur le quartier d’Aligre, non loin de la place de la Bastille à Paris, avant les élections municipales. Premier épisode (sonore) sur le logement avec la participation du sociologue Bruno Cousin.
La plateforme de livraison a réuni cette semaine des représentants de ses coursiers. Mais elle reste loin des garanties légales accordées à des salariés, ses livreurs étant censés être indépendants. Une interprétation que la justice conteste de plus en plus.
Depuis l’assemblée générale qui s’est tenue au Palais de justice le mardi 11 janvier, la grève des avocats qui dure depuis six semaines, semble avoir pris un nouveau tournant. Les robes noires s’organisent pour faire profiter de leur mouvement contre la réforme des retraites les justiciables les plus faibles.
Malgré la réquisition des trois incinérateurs de Paris, les salariés du secteur restent mobilisés contre la réforme des retraites. À Saint-Ouen, l’usine est toujours à l’arrêt. Quelques heures avant la manifestation de ce mardi, Philippe Martinez est venu resserrer les rangs.
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Quand on est racisé·e dans ce pays, on naît en apnée, on vit en apnée et on risque de mourir étouffé·e. La violence des mots, de la répression, du rejet que l’on subit en France est devenue intenable.
Dans la commune du Pas-de-Calais, fief du Rassemblement national, 67,15 % des électeurs ont voté pour Marine Le Pen au second tour. Des dizaines de journalistes ont couvert la journée et pourtant on ne retiendra qu’une vidéo de quelques secondes où l’ont voit des électrices crier, insulter et lancer un doigt d’honneur.