Journaliste depuis 2010, j'ai d’abord rejoint La Tribune au service finance-marchés. J’y ai ensuite suivi les actualités du logement, des collectivités locales et du ministère de l’économie jusqu’en 2017. Après des mois de piges et un passage par la WEB TV économique Xerfi Canal, j’ai intégré pour 18 mois le service habitat et urbanisme de l’agence de presse AEF. Et de passer ensuite plus de deux années au service économie du magazine Marianne. Arrivé à Mediapart en septembre 2022, j’écris sur les pratiques des entreprises et la macroéconomie française. Consulter ici ma déclaration d'intérêts
Impôt sur les milliardaires, défiscalisation des pensions alimentaires, baisse des taxes sur l’électricité… L’Assemblée a voté une série de mesures intéressantes, qui risquent toutefois de ne pas être retenues par le gouvernement. Voici pourquoi il faudrait les garder.
Rejeté à l’unanimité en commission, le budget 2025 de la Sécurité sociale est discuté à l’Assemblée à partir du 28 octobre. Dans le viseur du gouvernement : les indemnisations des arrêts de travail et le remboursement des consultations médicales, ainsi que les pensions de retraite.
Les débats parlementaires sur la taxation des plus hauts revenus ont vu le gouvernement et les macronistes tout faire pour défendre une imposition a minima et temporaire des plus riches. Mais ils ont été mis en minorité par les oppositions à l’Assemblée nationale.
Les efforts budgétaires importants demandés par l’État aux collectivités locales pourraient avoir de lourds impacts économiques. Affaiblies par plusieurs réformes successives, elles vont devoir mettre un frein à leurs investissements.
Prônant la baisse des taxes et l’amaigrissement de l’État, le Rassemblement national avance ses pions pour les débats budgétaires avec assurance. Emmanuel Macron ayant donné au parti d’extrême droite un droit de vie ou de mort sur le gouvernement Barnier.
Faisant face à un déficit abyssal, le gouvernement a dévoilé jeudi un projet de loi de finances actionnant tous les leviers d’économies budgétaires possibles pour renflouer les caisses. Au risque de mettre l’économie française à terre…
Comptables de la situation désastreuse des comptes publics, les députés du groupe Ensemble pour la République, emmenés par l’ancien premier ministre Gabriel Attal, appellent à poursuivre la politique qui a pourtant conduit à la catastrophe budgétaire.
L’arrêt rendu le 4 octobre 2024 par la Cour de justice de l’Union européenne dans l’affaire Lassana Diarra pourrait perturber le modèle économique de beaucoup de clubs français, qui repose sur les plus-values réalisées grâce à des transferts de joueurs.
Commissions juteuses, intérêts faramineux versés aux associés, et dettes toujours remises à plus tard : Mediapart s’est procuré des documents accablants sur la gestion financière du Football club des Girondins de Bordeaux par son propriétaire, Gérard Lopez.
Avec plus de 40 milliards d’euros de réduction dans les dépenses publiques, le gouvernement s’apprête à administrer une véritable saignée au pays. La Sécurité sociale et notamment les retraites seront privées de près de 15 milliards. À quoi s’ajoutent des hausses d’impôts ciblées.
Le premier ministre a acté une rupture avec le refus du camp présidentiel des hausses d’impôts pour les plus riches. Cela étant dit, il promet de faire peser les deux tiers de l’effort budgétaire sur la dépense publique. En somme, de poursuivre l’austérité engagée.
Le nouveau premier ministre a transmis aux parlementaires les hypothèses sur lesquelles il se basera pour élaborer le budget 2025. Elles sont peu ou prou les mêmes que celles de son prédécesseur : trouver au moins 10 milliards d’euros d’économie. Les ministères du travail, du sport et de l’écologie sont ciblés.