Cinéma Entretien

« Kika » au cinéma : la guérison par le BDSM

En salles mercredi, « Kika » d’Alexe Poukine brosse le portrait d’une jeune mère confrontée au deuil, qui s’initie au travail du sexe en tant que dominatrice. La cinéaste explique à Mediapart comment elle s’est documentée sur la culture du BDSM pour poursuivre sa grande affaire : l’élaboration d’une politique du soin.

Ludovic Lamant

La référence à Kika, le film de Pedro Almodovar sorti en 1993, est une fausse piste. Même si le Kika d’Alexe Poukine, qui sort en salles mercredi 12 novembre après un passage remarqué à Cannes (Semaine de la Critique), traite à sa manière de thèmes chers au grand cinéaste espagnol : le deuil et la reconstruction, l’entraide de femmes indépendantes, ou encore le goût pour une certaine contre-culture.

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