Arts Chronique

À l’opéra, « Castor et Pollux » ouvre la voie de la guerre à la paix

Le metteur en scène américain Peter Sellars relooke Jean-Philippe Rameau, qui avait lui-même dépoussiéré la mythologie. Il en résulte un « Castor et Pollux » ultracontemporain aux accents universels. À se demander si l’opéra ne mènerait pas le monde.

Antoine Perraud

Avant de crier à tort et à travers, « pavloviennement », à l’élitisme bourgeois archifaisandé, attardons-nous sur le paradoxe de l’opéra. Voilà un mode d’expression populaire récupéré à son profit par la classe possédante – version jet-set si possible.

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