Bienvenue à Sturkeyville est un recueil de six nouvelles horrifiques qui prennent place dans une ville imaginaire de Nouvelle-Angleterre. Au programme, vers géants, vampires crados, larves cannibales… et une vision plutôt sombre de la société américaine.
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La nouvelle horrifique devrait être considérée comme un élément typique de la culture américaine, au même titre que le hamburger ou la Ford Mustang GT. En effet, nul pays n’a à ce point pris le goût d’effrayer ses lecteurs en quelques pages ramassées, d’où s’échappent tentacules ou autres fétidités. Il y a plusieurs raisons à cela. La première est économique. Tout un pan de la « paralittérature » américaine a été publié dans des pulps, ces petits magazines à dix cents qui publient des short stories à la pelle. L’autre est culturelle. Les Américains, contrairement aux Français par exemple, aiment bien se confronter à leurs monstres, à leurs fantômes. Bref, à leur refoulé.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
Le second tour des législatives a confirmé la radicale nouveauté du paysage politique français depuis 2017. La majorité relative dont Emmanuel Macron doit se contenter génère cependant une situation pleine d’inconnues.
Trois jours après avoir perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, le président de la République a tenté de minimiser son échec. Martelant que son programme devait être appliqué, il a enjoint à ses opposants de se prononcer sur leur volonté ou non de l’aider à le faire.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
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