C’est l’œuvre immense d’un écrivain que beaucoup jugent insupportable, voire infréquentable. L’Archipel des Solovki (éditions Actes Sud) n’est pas seulement un gros livre de 820 pages. C’est un roman vertigineux, qui allie la puissance de la fiction à la précision d’une enquête documentaire. Et il vient confirmer que son auteur, Zakhar Prilepine, est bien l’un des plus grands écrivains russes de ces trente dernières années.
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