Bertrand Leclair n’est pas un débutant. C’est même un écrivain rompu, mais un écrivain qui a gardé intact le goût de la littérature et celui des commencements, de ces premiers mots qui vous enlèvent. Son dernier roman permet d’en faire l’expérience : il emporte l’adhésion dès les premières lignes, au fil d’une méditation inaccoutumée sur les fantômes, ces êtres qui tremblent, mi-vivants mi-morts, peuplant nos vies et nos livres. Aux confins du soleil est pourtant loin d’évoluer parmi les spectres.
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