Charles Delescluze, le journaliste citoyen de la Commune
Délégué à la guerre de la Commune, il est mort voici cent cinquante ans sur la barricade du boulevard Voltaire. Fondateur de très nombreux journaux, sous la Monarchie de Juillet comme sous le second Empire, il est l’un des grands symboles, au XIXe siècle, du journalisme engagé.
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La scène se déroule le 25 mai 1871, voici très exactement cent cinquante ans. Ce jour-là, Charles Delescluze, que la Commune a désigné le 10 mai précédent délégué à la guerre, apprend que l’armée versaillaise continue sa terrible et meurtrière progression dans les rues de Paris. Après avoir conquis Montmartre l’avant-veille, elle a eu raison, la veille, de la barricade de la rue Soufflot et a pris position sur la place de la Concorde. Et voici maintenant que la barricade du boulevard Voltaire est à son tour sous sa menace.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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