Les sciences sociales en général, et l’anthropologie en particulier, sont-elles encore en capacité d’aider à penser et changer le monde, et à s’émanciper d’un sentiment d’impuissance politique de plus en plus prégnant ? Pour Philippe Descola, qui a succédé à Claude Lévi-Strauss à la chaire d’anthropologie du Collège de France, « tant l’approche utilitaire que l’approche critique me semblent manquer la cible de ce que les sciences sociales peuvent apporter à l’indispensable transformation de notre présent mode de vie ».
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