Françoise Frenkel est une femme, réfugiée, écrivaine, sans que ces identités s’éclairant l’une l’autre ne suffisent à la définir, du siècle dernier. Entre 1939 et 1943, elle a fui, parcouru des milliers de kilomètres, s’est cachée. Seule, sans mari ni famille. Elle a été aidée, dénoncée, interpellée, emprisonnée. Elle a fini par passer. À peine a-t-elle franchi la frontière qui devait la protéger qu’elle s’est mise à écrire.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous