Dans les Alpes-Maritimes, la gestion de l’eau victime de pressions politiques

Une décision du tribunal administratif de Nice, jeudi 12 octobre, a repoussé la création d’un monopole de gestion de l’eau dans les Alpes-Maritimes. En coulisses, des pressions politiques sur des maires de petites communes dans une région touchée par la sécheresse.

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Jeudi 12 octobre, le tribunal administratif de Nice (Alpes-Maritimes) a rendu une décision en référé remettant en question la légalité des décisions du conseil communautaire de la communauté de communes Alpes d’Azur concernant le syndicat chargé de la gestion de l’eau de 34 communes du département. Il prévoyait de remplacer à son poste de président Marc Belvisi, maire de Pierrefeu (Alpes-Maritimes), pour cause de « disparition de confiance ». En ligne de mire, le président du département, Charles-Ange Ginésy (Les Républicains), également président du conseil communautaire, et en coulisses : Éric Ciotti (LR).

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