Après la mort de Nahel, la révolte et la répression des quartiers populaires

Dans les quartiers, des chauffeurs de bus entre la peur des violences et le soutien aux habitants

Dans plusieurs grandes villes de France, les transports en commun ne circulent plus tard le soir sur décision de la préfecture. Les chauffeurs de bus témoignent de leur volonté de se protéger et du refus d’imposer la double peine aux habitants des quartiers populaires. 

Khedidja Zerouali

Pas de transports publics pour les banlieusards le soir. Partout en France, des agglomérations ont largement restreint leur offre du soir pour les quartiers populaires, après les nuits de révolte qui ont suivi la mort du jeune Nahel M., à Nanterre, le 27 juin.

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