Chez Altrad Endel, une grève pour les salaires pour compenser la flambée des prix

Un mouvement social pour une hausse des salaires secoue le groupe industriel, l’un des principaux sous-traitants du nucléaire en France. Des salariés réclament une hausse au moins égale à l’inflation, alors que la trésorerie de leur entreprise dépasse 158 millions d’euros.

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Mardi 7 février, un piquet de grève, tenu par une cinquantaine de salarié·es d’Altrad Endel, l’un des principaux sous-traitants du nucléaire en France, bloque l’une des trois portes d’accès de la centrale nucléaire de Gravelines (Nord), à côté de Dunkerque. Certains travaillent sur le site, d’autres dans des usines du coin, notamment de métallurgie. « Dans l’industrie, on a été tellement dépouillés qu’on n’a même plus d’atelier », explique Pascal Wattebled, délégué CGT du groupe.

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