Dix-huit mois après leur lancement, les cars longue distance créés par la loi Macron ont transporté plus de 5 millions de passagers. Mais ce chiffre cache mal la réalité d’un secteur peu créateur d’emplois et peu rentable.
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Difficile de trouver une mesure plus emblématique ou qui colle mieux avec le personnage politique qu’Emmanuel Macron entend incarner. « Moi, je crois beaucoup à cette réforme, qui n’est pas anecdotique », déclarait encore le candidat à l’élection présidentielle sur France Inter le 1er février. Une réforme à laquelle il est tellement identifié qu’elle a pris son nom : les « cars Macron ». De meeting en meeting, de radio en télé, l’ex-ministre de l’économie cite en exemple la libéralisation totale du transport par autocar, devenue réalité en août 2015, il y a exactement 18 mois, grâce à la loi Macron. Avant lui, il était interdit d’ouvrir une ligne de cars de plus de 100 km. Depuis, tout est possible, et plus de 190 villes sont désormais desservies.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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