La Rochelle : le patron de l’escape game se fait la malle
Absence de fiches de salaire depuis plus de six mois, manquements administratifs, condamnations pour harcèlement moral et agissements sexistes… Les salariés de l’Escape Hunt de La Rochelle ont longtemps ferraillé contre leur patron avant qu’il ne disparaisse.
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Six jeunes salarié·es sont enfermé·es dans une entreprise défaillante et le patron s’est évaporé sans rien dire. La société dérive, les salarié·es rapportent que plus personne n’a de fiches de paye depuis des mois et que le matériel se dégrade à vue d’œil. Cela aurait pu être le début d’une énigme à résoudre dans un escape game, une de ces salles de jeu à la mode dont il faut sortir en un temps limité en récoltant des indices. Il s’agit en réalité du quotidien du personnel de l’Escape Hunt de La Rochelle (Charente-Maritime), en liquidation judiciaire depuis le 19 mai.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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