Uber, Deliveroo : les batailles de l’ubérisation

114 coursiers à vélo portent plainte contre Take Eat Easy

La plateforme de livraison de repas, qui a fait faillite en 2016, est accusée d'avoir dissimulé le fait que ses coursiers étaient des salariés classiques, mais aussi d'avoir sciemment employé des personnes non enregistrées comme travailleurs indépendants. En guise de salaire, elle leur proposait parfois de commander des pièces détachées de vélo.

Dan Israel

Cela deviendrait presque banal. Lundi 9 avril, trois livreurs à vélo, basés à Paris, Nantes et Rennes, demandaient au conseil des prud’hommes de Paris de constater qu’ils ont travaillé comme des salariés classiques, et non en tant qu’indépendants, pour Take Eat Easy.

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