La cour administrative annule la privatisation de l’aéroport de Toulouse

La cour administrative d’appel a annulé mardi 16 avril la vente de l’aéroport de Toulouse-Blagnac, estimant que le cahier des charges n’avait pas été respecté. L’État va devoir racheter les parts vendues au repreneur chinois Casil. Cette privatisation voulue par Emmanuel Macron en 2014 tourne au fiasco. 

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

C’est une décision sans précédent. Et elle prend une portée encore plus symbolique au moment où les droites et les gauches confondues ont décidé de lancer une procédure de référendum d'initiative partagée pour s'opposer à la privatisation d'ADP. La cour d'appel administrative de Paris a décidé mardi 16 avril d'annuler la privatisation de l'aéroport de Toulouse-Blagnac, suivant l'avis du rapporteur public. En mars, celui-ci avait demandé cette annulation, estimant que la procédure et le cahier des charges n'avaient pas été respectés.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal