Élections italiennes : après Draghi, l’extrême droite Analyse

En Italie, un débat économique médiocre face à la peur de l’inflation

La hausse vertigineuse des factures a été au centre des préoccupations des Italiens durant la campagne électorale. L’économie italienne est en crise structurelle longue. Mais les partis politiques, surtout à droite, sortent les vieilles recettes.

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Avant les élections générales du 25 septembre, la première préoccupation des Italiens ne saurait faire aucun doute. Partout, dans les discussions, dans les journaux, à la télévision, sur les réseaux sociaux et même dans les publicités, un terme domine : « carobollette », que l’on pourrait traduire littéralement (et sans aucune élégance) par « factures chères ». Cette crainte concerne non seulement les ménages, mais aussi les entreprises ; et non seulement le passé, mais aussi l’avenir.

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