Dans l’animation, la grève est le révélateur d’un mal-être profond
Les 14 et 15 décembre ont marqué une mobilisation historique dans le secteur de l’éducation populaire. Animateurs et directeurs, syndiqués ou non, ont fait grève ensemble. Ils partagent un constat : leur secteur n’attire plus. 3 500 postes d’animateurs sont à pourvoir.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
« Quand« Quand on regarde où on était il y a un an et ce qu’il s’est passé les 14 et 15 décembre, ce n’est que du positif ! », se réjouit Dimitri, créateur et co-administrateur du collectif France Animation en lutte. Ce groupe Facebook, indépendant des syndicats, a permis la coordination et l’émergence d’un mouvement social d’une ampleur historique les 14 et 15 décembre dans le secteur du périscolaire.