Le constructeur automobile français Groupe PSA (Peugeot-Citroën) a présenté jeudi 23 février des résultats annuels 2016 qui rendent possible et peuvent aussi justifier le rachat actuellement négocié des activités européennes de General Motors (GM), une « opportunité » jugée risquée et dont la rationalité demande à être démontrée. En redressant plus vite que prévu une entreprise elle-même en grand danger il y a seulement trois ans, son patron, Carlos Tavares, peut affirmer que le même traitement produira les mêmes effets pour Opel et Vauxhall, les marques dont GM aurait enfin décidé de se débarrasser.
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