OGM: questions sur le «méga deal» entre Bayer et Monsanto
Le mariage annoncé de deux entreprises parmi les plus détestées au monde se négocie sous une pluie de dollars. Mais derrière les analyses financières se cachent batailles de pouvoir et enjeux environnementaux inattendus.
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Promesse de « méga deal », cascade de dollars, mariage annoncé de deux entreprises parmi les plus détestées au monde : tous les ingrédients sont réunis pour que la tentative d’achat du géant Monsanto par le groupe Bayer occupe une place de choix dans l’actualité financière des prochains mois. Les enjeux économiques sont considérables pour le secteur de l’agrochimie. Mais derrière les analyses comptables, se profilent des jeux de pouvoir inattendus au sein de l’espace européen. Mardi 24 mai, Monsanto a rejeté l'offre de rachat de 62 milliards de dollars (55,63 milliards d'euros) de Bayer, jugée insuffisante, selon Reuters. Mais pour la première fois depuis l'annonce faite par le groupe allemand, le leader mondial des semences s'est dit ouvert à des négociations.
Plus de 30 000 personnes auraient trouvé refuge en France depuis le début de la guerre d’invasion russe en Ukraine, en février. Si le gouvernement a assuré que tous les moyens seraient mis en œuvre pour les accueillir, la désorganisation persiste, regrettent les acteurs de terrain.
La croissance a stagné au premier trimestre et ne devrait pas faire beaucoup mieux au deuxième. La compression des revenus réels et l’indifférence quasi complète du gouvernement conduisent à une situation des plus préoccupantes. Toute l’économie se recroqueville.
Emmanuel Macron a réuni mardi les candidats de son camp aux élections législatives. La future majorité qu’il espère obtenir s’annonce macroniste jusqu’au bout des ongles. Le chef de l’État a fait confiance aux députés, conseillers et ministres de son premier quinquennat, balayant les espoirs d’élargissement et de renouvellement dans ses rangs.
La députée de Seine-Maritime Sira Sylla a été une nouvelle fois jugée aux prud’hommes pour répondre de faits de harcèlement sur un collaborateur, qui devait notamment garder son chien et lui acheter cigarettes et champagne. L’élue n’était pas présente à l’audience, étant en campagne pour sa réélection, avec le soutien de la majorité.
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