Travail

Fraudes au chômage partiel: le contrôle impossible

Le dispositif de soutien aux entreprises aura coûté 30 milliards d’euros en 2020. Des centaines de millions auraient pu être économisés avec de meilleurs contrôles. Mais le système, simplifié au maximum, est extrêmement vulnérable aux escroqueries.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

C’est devenu un passage obligé des interventions gouvernementales. Lorsqu’ils évoquent la situation économique et sociale déclenchée par la pandémie de Covid-19, les ministres se félicitent immanquablement de l’utilisation très large du chômage partiel, réponse indéniablement efficace pour éviter les licenciements trop massifs – au moins sur le court terme. Au plus fort de la crise en avril, 8,6 millions de salariés ont bénéficié de ce dispositif, qui leur permet de voir 84 % de leur salaire net pris en charge par l’État (100 % au niveau du Smic). En août, selon les derniers chiffres du ministère du travail, 1,3 million de salariés étaient encore concernés.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA