Mis en cause après la mort le 26 octobre 2014 du jeune militant écologiste Rémi Fraisse, le ministère de l'intérieur avait à plusieurs reprises cité cette affaire de coups sur un gendarme pour prouver la violence des opposants au barrage de Sivens. Yannick, un habitant du Tarn, venu soutenir les zadistes, avait été accusé d’avoir le 15 septembre 2014 fracturé la main d’un gendarme du PSIG (45 jours d’ITT) lors d’une opération de refoulement sur le chantier du barrage. À l'issue d'une garde à vue de 48 heures, l'ouvrier en bâtiment de 42 ans avait été condamné en comparution immédiate par le tribunal correctionnel d’Albi. Il avait écopé de quatre mois avec sursis pour violences.
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