Ses partisans le disent habité par la certitude sincère que la gauche de gouvernement n’a pas le droit d’échouer sur les questions de sécurité, qu’elle aurait tout à perdre en laissant s’instruire son procès en laxisme ou en angélisme. Ses contempteurs, en revanche, voient en lui un ministre droitier, autoritaire et opportuniste, dont l’ambition personnelle deviendrait presque suspecte.
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