Elle parle d’une voix douce, teintée d’un léger accent portugais. Maria Mota déroule cependant son histoire sans accroc. Elle l’a répétée maintes fois depuis trois ans. Elle se bat contre Pôle emploi, qui lui demande un trop-perçu qu’elle juge indu, et contre son ancien employeur, l’hôpital public de Rumilly (Haute-Savoie), qui refuse de lui payer les indemnités qui lui valent son contentieux.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous