France Chronique

Au procès des financements libyens, les « faits alternatifs » d’Alexandre Djouhri

Interrogé lundi, Alexandre Djouhri a présenté des explications ubuesques de l’exfiltration de Bachir Saleh, l’ancien directeur de cabinet de Mouammar Kadhafi, vers le Niger, en 2012, et contesté l’attentat subi par le Libyen en 2018.

Karl Laske

C’est plus fort que lui, Alexandre Djouhri aime brouiller les pistes. Dire blanc quand c’est noir, pointer une fausse direction. Et il y a un sujet sur lequel le tribunal s’interroge, c’est sa relation avec Bachir Saleh, l’ancien directeur de cabinet de Mouammar Kadhafi, également prévenu, mais en fuite, dans l’affaire des financements libyens.

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