Devant l’Assemblée nationale, le mardi 28 avril, Édouard Philippe n’a pas hésité à convoquer « la vertu », « cette antique qualité qui mêle la rectitude, l’honnêteté et le courage ». C’était tout à la fin de son discours présentant « la stratégie nationale de déconfinement », où le premier ministre essayait de sauver la face d’un État en perdition sous l’effet des injonctions contradictoires, incohérentes et irresponsables de celui qui est supposément son chef, le président de la République (lire l’article d’Ellen Salvi).
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous