L’écologie selon Rugy ou l’art périlleux du compromis
Le nouveau ministre de la transition écologique défend les coalitions majoritaires afin d’exercer le pouvoir. Antinucléaire assumé, il va se retrouver en porte-à-faux avec un gouvernement qui veut prolonger la vie des centrales.
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DansDans sa guerre de communication sur sa volonté d’action pour le climat, le gouvernement vient de perdre une bataille. La nomination de François de Rugy au ministère de la transition écologique et solidaire en remplacement de Nicolas Hulot présente les signes extérieurs d’une résignation, voire d’un renoncement à agir. L’ancien numéro 3 de l’exécutif déclare démissionner car « on n'a pas compris que c’est le modèle dominant qui est la cause » ? Il est remplacé par un homme qui a intitulé un livre récent : Écologie ou gauchisme. Il faut choisir !.