Le tribunal condamne Alexandre Benalla et son « sentiment d’impunité »

Considérant son comportement comme « inadmissible et insupportable au corps social », le tribunal a condamné l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron à trois ans de prison, dont un ferme, dans les affaires des violences du 1er-Mai, du selfie armé et des passeports diplomatiques. 

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Le jugement vient tout juste d’être prononcé. Dans la salle d’audience, les jeunes gens qui avaient été molestés le 1er mai 2018 place de la Contrescarpe et au Jardin des plantes s’étreignent avec de larges sourires. Dans le coin opposé, Alexandre Benalla, légèrement sonné, discute de longues minutes avec son avocate. Ce vendredi 5 novembre, la Xe chambre correctionnelle de Paris, présidée par Isabelle Prévost-Desprez, vient de condamner sévèrement l’ancien « monsieur sécurité » d’Emmanuel Macron et (dans une moindre mesure) son acolyte Vincent Crase, qui devront en outre verser des dommages et intérêts aux parties civiles.

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