Justice Chronique

Au procès de Saint-Brevin, des néonazis se disent victimes d’un « délit de faciès »

Par la voix de leurs avocats, les nervis interpellés à Saint-Brevin en marge d’un colloque sur l’immigration ont dénoncé les persécutions dont ils feraient l’objet de la part des forces de l’ordre et des antifas. Le parquet a requis six mois de prison avec sursis à leur égard.

Matthieu Suc

Lors d’un procès ayant pour prévenus des militants de l’extrême droite radicale, cela commence souvent par une demande de nullité de la procédure. L’audience qui s’est déroulée devant le tribunal correctionnel de Saint-Nazaire mardi 5 mars n’a pas dérogé à la règle.

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