Discriminations à l’embauche: le gouvernement dénonce, mais pas trop fort
Le gouvernement a dévoilé, jeudi 6 février, les conclusions d’une étude sur les discriminations à l’embauche, pointant le comportement de sept grandes entreprises françaises. Tout en relativisant les conclusions à en tirer.
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L’opérationL’opération de « name and shame » (nommer et faire honte) devait illustrer la détermination du gouvernement à lutter contre les discriminations à l’embauche. Elle s’est transformée en exercice hasardeux et légèrement pathétique. Sept grandes entreprises françaises – Air France, Accor, Altran, Arkema, Renault, Rexel et Sopra Steria – ont bien été citées, jeudi 6 février au soir, comme ayant une « propension à la discrimination » supérieure à d’autres, à l’issue d’une étude inédite. Mais ces sociétés contestent la méthode. Et dans le même temps, le gouvernement cherche à minimiser l’impact de l’étude qu’il a lui-même financée.
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