Police

Pourquoi la police verbalise peu le harcèlement de rue et les « outrages sexistes »

Dans un rapport d’avril 2021, rendu public seulement le mois dernier, l’Inspection générale de la police nationale regrettait que les agents chargés de constater les outrages sexistes soient insuffisamment formés et guidés, par leur hiérarchie comme par les parquets.

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La création de l’infraction d’outrage sexiste, par la loi du 3 août 2018 « renforçant la lutte contre les violences sexistes et sexuelles », visait à « réprimer le phénomène de harcèlement de rue, dont les femmes sont très fréquemment victimes ». Cette contravention, passée de la quatrième à la cinquième classe le mois dernier, peut devenir un délit dans certaines circonstances, notamment si l’outrage sexiste est commis dans les transports en commun, en raison de l’orientation sexuelle de la victime ou contre une personne de moins de 15 ans. 

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