Après les « Pandora Papers », les gauches tentent de monter au créneau
L’évasion fiscale massive révélée par les « Pandora Papers » devrait conforter le discours sur la justice fiscale et la taxation des multinationales. Mais les gauches peinent à imposer le débat.
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DixDix mille milliards d’euros placés dans des comptes offshore en 2020, des centaines de responsables politiques épinglés pour évasion fiscale (dont Tony Blair et l’ancien ministre des finances Dominique Strauss-Kahn), et de nouveaux paradis fiscaux mis au jour. Les révélations des Pandora Papers par l’International Consortium of Investigative Journalists (ICIJ) surclassent en nombre de documents fuités et en quantité d’argent dissimulé les précédents scandales d’évasion fiscale (Lux Leaks, Panama Papers, Paradise Papers…).