Le député de la Somme publie Il est où, le bonheur. François Ruffin livre là ses réflexions sur l’écologie et la nécessité de renouer, dans un « front populaire écologique », une alliance entre classes populaires et « classe éduquée ». Constatant que « le triptyque consommation-croissance-mondialisation ne fait plus envie », il juge que s'ouvre un espace politique.
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Chaque sortie d’ouvrage ou de film de François Ruffin est désormais un événement médiatique. Son nouvel opus, publié mercredi 6 novembre, Il est où, le bonheur (Les Liens qui libèrent), n’échappe pas à la règle. Le « député-reporter », qui écume les médias depuis une semaine – il sera à « On n’est pas couché », pour la seconde fois, samedi 9 novembre –, y revient en longueur sur sa conception de l’écologie. Alors que de Greta Thunberg à Yannick Jadot, la branche la plus visible de l’écologie politique prône un consensus autour de la question climatique, François Ruffin estime au contraire qu’il faut revenir à la question de la lutte des classes et réintroduire le conflit au cœur de la matrice idéologique.
Depuis quatre mois, les fragiles équilibres d’un marché déjà tendu sont rompus. L’énergie est devenue un terrain d’affrontement entre les États-Unis et la Russie. En juin, pour la première fois de son histoire, l’Europe a plus importé de gaz américain que russe.
Avec l’irruption de l’inflation s’engage une nouvelle phase de la crise du capitalisme. Désormais, celle-ci semble totale et multidimensionnelle. En trouver l’issue sera de plus en plus complexe.
La secrétaire d’État et gynécologue Chrysoula Zacharopoulou est accusée de « viol » et de « violences » par des patientes, à la suite du professeur Daraï, qui fut son chef de service. Les gynécologues rejettent le terme de viol en cas d’examen gynécologique. Les militantes fustigent un déni des violences.
Dans son verdict condamnant le dixième homme des commandos de Paris à une peine de perpétuité incompressible, la cour d’assises spéciale souligne « son absence de réflexion réelle » et « sa volonté de ne pas trahir l’État islamique ».
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