L’affaire Vincenzo Vecchi n’est plus seulement celle du devenir de ce militant anticapitaliste et antifasciste condamné en 2012 à douze années et demie de prison par la justice italienne pour avoir participé à la manifestation anti-G8 de Gênes en 2001. Elle met désormais en cause des principes fondamentaux de droit. Elle vient surtout souligner les multiples fragilités du mandat d’arrêt européen.
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