Des rejets toxiques à des niveaux astronomiques dans l’usine Sanofi de Lacq

L’usine Sanofi du bassin de Lacq, dans les Pyrénées-Atlantiques, émettait au printemps 2018, date des dernières mesures disponibles, jusqu’à 190 000 fois plus que le maximum autorisé d'une substance cancérogène et susceptible d’altérer la fécondité. Mediapart a eu accès à un rapport qui détaille la gravité de la situation. Représentant·e·s écologistes et syndicaux s’alarment mais l’État ne sanctionne pas.

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Les membres d’associations de défense de l’environnement et les représentant·e·s du personnel des sites industriels classés connaissent bien le problème des dépassements de seuils de rejets. Régulièrement, des sites de production ou de stockage de substances polluantes sont rappelés à l’ordre pour avoir dépassé la limite autorisée d’effluents. Mais cette fois-ci, les militant·e·s de la Sepanso, la fédération régionale d’associations de protection de la nature en Aquitaine, sont tombé·e·s de leur chaise.

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