« J’ai un message pour les bailleurs, les syndics, la mairie : les gens ont commencé à crier il y a longtemps. Aujourd’hui ce n’est pas le bon moment pour venir constater les dégâts, c’est trop tard », lance Imane, 28 ans, le 7 novembre, lors d’une réunion d’habitants de Noailles, traumatisés par l’effondrement deux jours plus tôt de deux immeubles dans ce quartier populaire du centre-ville de Marseille.
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