C’était le 8 novembre 1980. Devant le « comité directeur » de son parti, François Mitterrand annonce, à huis clos, qu’il sera le candidat des socialistes à la présidentielle de 1981. Une « candidature à haut risque », titre alors L’Express, lequel relate les doutes de ses proches camarades qui s’inquiètent de cette troisième candidature.
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