Le calendrier de l’acquisition d’Uramin a toujours laissé songeur : l’essentiel de la négociation autour de cette société minière canadienne s’est tenue entre mars et la mi-mai 2007, en pleine campagne présidentielle, en pleine vacance du pouvoir. Comme si la direction d’Areva, groupe détenu à 86,5 % directement et indirectement par l’État, était libérée de toute tutelle et n’avait que faire de ces échéances politiques.
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