Lundi soir sur TF1, le premier ministre n’a pas pu s’empêcher de se faire bravache : «Je ne suis pas là pour m’excuser.» Mais en moins de deux ans à Matignon, son bilan est celui de l’installation du FN au-dessus des 30%, de la montée du chômage et de la disparition de la gauche.
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VingtVingt-quatre heures. Manuel Valls a attendu 24 heures pour s’exprimer sur le premier tour des élections régionales. Un moment silencieux déroutant pour quiconque a pris l’habitude de le voir s’exprimer à longueur de journée, depuis qu’il occupe Matignon, et la place Beauvau auparavant. Sans doute était-ce plus utile que celui qui incarne la fracture à gauche se taise pendant que le PS négociait ses fusions de listes avec les écologistes et le Front de gauche.