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Marseille, une «ville sale» par clientélisme

Quand on parle de déchets, il est surtout question de démocratie locale, de clientélisme et d'intérêts politiciens. C'est ce que montrent le syndicaliste Pierre Godard et le sociologue André Donzel dans Éboueurs de Marseille, entre luttes syndicales et pratiques municipales, dont nous publions les bonnes feuilles.

Louise Fessard

Depuis le 29 septembre 2014, Marseille en a officiellement fini avec le « fini-parti » des éboueurs. Cette organisation du travail permettait aux éboueurs de quitter leur poste une fois leur tournée de ramassage des ordures ménagères terminée, quel que soit le temps de travail effectué.

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