Il y a les miettes de pain qui sortent du manteau de Cabu et celui-ci qui se régale d’avance d’un jambon emballé dans un torchon. Il y a la galette des Rois de la dessinatrice Corinne Rey dite « Coco » et le gâteau marbré de la chroniqueuse judiciaire Sigolène Vinson. Il y a les livres de l’économiste Bernard Maris, celui sur le jazz qu’il a apporté et celui qu’il conseille, Robespierre, reviens ! d’Alexis Corbière. Il y a aussi les vêtements du même Bernard Maris, un costume en laine, pied-de-poule, que Sigolène Vinson n’aime pas parce qu’elle trouve que « la veste et le pantalon ça faisait trop de pied-de-poule pour un seul homme ». Il y a Philippe Lançon qui renâcle à faire une chronique littéraire qui serait, estime-t-il, « une resucée » d’un précédent article et Charb, le directeur de la publication, qui le charrie : « Oh, oui, Philippe, resuce-moi encore ! »
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