Seconde journée, dimanche, de l'université d'été de l'Ares - l'alliance républicaine, écologiste et sociale - à La Grande Motte. Objectif: rassembler au-delà des centres. Et surtout du côté de l'UMP, avec laquelle la rupture est loin d'être évidente.
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NiNi Matignon, ni ministère. Jean-Louis Borloo l'a bien dit samedi soir, pendant un dîner avec les journalistes –beaucoup de confidences «off», nous étions pourtant une vingtaine à table: s'il est candidat à la présidentielle, ce n'est pas pour retourner dans un gouvernement de Nicolas Sarkozy. «J'aurais l'impression de trahir les électeurs», dit-il au premier jour de l'université d'été de l'Alliance républicaine, écologiste et sociale (Ares). A moins que... à moins qu'il n'y ait pas de majorité sans les centristes, auquel cas, l'Ares pourrait réellement peser. Ce serait différent.