Depuis trois semaines, les débats sur le racisme dans la police ont pris la une. De la mort de George Floyd à l’intervention télévisée de Camélia Jordana, des manifestations pour exiger « justice » aux groupes privés de policiers, en passant par les prises de position du Défenseur des droits, une lame de fond jusqu’ici confinée est brusquement apparue. La colère, les mises en cause, mais aussi les tentatives d’inventer la suite se heurtent, bien souvent, au déni et aux réflexes de crispation.
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