Éducation et enseignement supérieur

Le bac, increvable rituel, se cherche un nouveau sens

Chaque année, alors que les épreuves du baccalauréat débutent, les mêmes critiques émergent. Il serait trop facile, trop onéreux et compliqué à organiser. Pourtant, cet examen qui marque la fin du lycée et l'entrée dans les études supérieures demeure un rite initiatique, un symbole indéboulonnable. Certains s'interrogent toutefois sur la possibilité de le réformer. 

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Le mois de juin a ses rituels et le baccalauréat en fait partie. 695 682 élèves de terminale planchent depuis mercredi 15 au matin sur la philosophie, pour les candidats aux bacs généraux et technologique (72 %), tandis que les bacs professionnels (28 %) s’attellent à l’épreuve de français. Comme tous les ans, le passage de ce diplôme est surmédiatisé avec micro tendu à la sortie des salles d'examen et commentaires plus ou moins inspirés sur les sujets proposés.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal