Outre-mer

Nouvelle-Calédonie : les opérations d’ingérence n’expliquent pas les violences

Gérald Darmanin a accusé jeudi l’Azerbaïdjan d’ingérence en Nouvelle-Calédonie. Il y a bien une manipulation de la part de cette dictature qui, depuis deux ans, manifeste son hostilité vis-à-vis de la France. Mais elle ne suffit pas à justifier la colère et les affrontements en cours.

Matthieu Suc

Au petit matin du jeudi 16 mai, Gérald Darmanin a accusé l’Azerbaïdjan d’ingérence en Nouvelle-Calédonie. Interrogé sur l’éventualité d’une ingérence étrangère dans les violences en cours, le ministre de l’intérieur et des outre-mer a répondu sur France 2 : « L’Azerbaïdjan, ce n’est pas un fantasme, c’est une réalité », en regrettant qu’« une partie des indépendantistes calédoniens aient fait un deal » avec ce pays.

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