Quand la justice française ménageait le clan Ben Ali

Deux neveux par alliance du dictateur tunisien auraient dû être jugés à Ajaccio en 2009 dans un dossier de trafic de yachts volés. C'était sans compter avec le zèle du parquet, agissant sous la pression du pouvoir exécutif.

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Parmi les innombrables passe-droits dont a bénéficié le clan du dictateur tunisien Ben Ali, il en est au moins un qui a été délivré récemment par la justice française, sur fond de raison d'Etat. En juin 2009, le parquet d'Ajaccio (hiérarchiquement soumis au pouvoir exécutif) a fait le choix de ne pas citer devant le tribunal correctionnel deux neveux de la toute-puissante épouse du président Ben Ali.

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