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Femmes enceintes à la rue : « Je me sens invisible »

Chaque jour, en Seine-Saint-Denis, une cinquantaine de femmes enceintes ne peuvent être prises en charge, faute de places suffisantes mises à disposition par le 115, qui gère l’hébergement d’urgence. Alors même qu’elles sont censées être prioritaires.

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Bérénice Gabriel et Faïza Zerouala

Chaque jour, en Seine-Saint-Denis, depuis le début de l’année, une cinquantaine de femmes enceintes restent à la rue. Malgré des appels incessants au 115, la plateforme qui gère l’hébergement d’urgence, ces futures mères ne peuvent être prises en charge, faute de places suffisantes. Alors qu’elles sont censées être prioritaires.

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